Ma rencontre avec le reiki

Ma rencontre avec le reiki est arrivée après 27 ans passé en tant que secrétaire de mairie dans mon village de 500 habitants, bien que très attachée aux habitants, je sentais depuis plusieurs années le besoin de m’épanouir dans un autre domaine.

Donc après avoir pris soin des gens de façon administrative, parce que vraiment je les aimais tous, je me suis formée au Reiki pour prendre soin des personnes qui ont envie d’aller mieux et seulement de ceux qui en manifestent le désir…

Parce que dans la philosophie du Reiki, il est indispensable d’être demandeur pour bénéficier d’un soin énergétique. Chacun à son chemin à suivre, son libre arbitre.
Ainsi, même si vos anges gardiens nous font nous rencontrer, vous disant inconsciemment ainsi « tiens ! cette praticienne reiki est là pour t’aider à te déstresser, à y voir plus clair… » vous avez la possibilité de ne pas me voir comme telle. Et donc, vous utilisez votre libre arbitre en m’oubliant et passant à autre chose.

C’était un aparté.

… Et je suis tombée dans le reiki qui est une vraie philosophie de vie. Pour aller mieux soi-même d’abord, parce qu’il faut être bien soi-même, pour être en mesure d’aider les autres.
Ainsi, je crois beaucoup à l’effet papillon. Les petites actions individuelles qui embellissent un peu plus le monde.

Si je donne du bien-être à travers le canal du reiki, la personne qui en a reçu sera plus détendue, parce que réharmonisée soulagée de ses douleurs, en retrouvant sa famille ses mots, son attitude sera peut-être plus douce et le mari et les enfants le ressentiront, leur apportant du mieux-être à leur tour.

Contribuer même de manière infime à ce cercle vertueux me remplit de joie et de bonheur.
C’est pourquoi je pense qu’il est important de parler du reiki, qu’il est nécessaire de le développer, d’encourager les personnes à se former et c’est pourquoi je communique de cette manière sur le reiki.

Il me reste un très long chemin à parcourir pour découvrir de manière plus approfondie le reiki, son histoire, son essence, l’amener dans les hôpitaux, le mettre au service des patients, ouvrir la conscience des médecins pour qu’ils comprennent que les techniques parallèles ne sont pas contre la médecine traditionnelle mais qu’elles sont complémentaires.

Il me reste un très long chemin, mais je sais qu’on se meurt apprenti.