Les mots utilisés au quotidien, comme les maux du corps parlent d’eux-même, si dans ce monde de vitesse, chacun prend le temps de s’y arrêter 5 minutes.
« Te fais pas de bile ! » « J’en ai plein le dos ! » ne sont pas des expressions en l’air.
Elles font références à un point du corps qui peut pâtir de soucis et/ou stress trop lourds à porter ; dans ces deux cas, la vésicule biliaire et/ou le fois et le dos et/ou les épaules peuvent être la manifestation physique du stress.
Déchiffrer les mots et les maux mérite de s’y attarder.
Quelques exemples :
Les yeux : Refus de voir. Qu’est ce qui est sous mes yeux et que je ne vois pourtant pas ?
Les oreilles : Refus d’entendre, de comprendre. Faire le choix d’écouter les autres (même s’il semble qu’ils aient torts) Pour ouvrir son esprit à un autre point de vue
La gorge : Voix et voie de communication « avoir la gorge nouée ». Les mots (et donc les émotions) restent enfouis » en travers de la gorge. Qu’est ce qui n’a pas été exprimé et ne demande qu’à sortir ? Ce qui ne peut-être dit peut-être libéré en écrivant.
Ce sujet vous intéresse, je vous recommande l’excellent livre de Jacques Martel traitant de ce sujet : « Le grand dictionnaire des malaises et des maladies » téléchargeable en quelques secondes ICI.