Le reiki et moi…
Rien ne me destinait à devenir praticienne Reiki et à en faire une activité à part entière.
Si j’ai choisi de m’initier au Reiki, au commencement c’était pour avancer dans ma vie avec plus de légèreté, de verticalité, les pieds bien sur terre.
Mais c’est comme avec Obélix, une fois tombée dans la marmite, j’ai continué ma formation jusqu’au 3ème degré de reiki qui me permet de pouvoir exercer et j’ai poursuivi quelques années plus tard, mieux agguerrie jusqu’à la maîtrise ce qui me permet de pouvoir enseigner.
Comment marche le reiki ?
Le praticien reiki (appelé souvent donneur) a suivi des formations et des initiations pour être en mesure de vous transmettre, grâce à l’imposition des mains, l’énergie universelle de vie présente partout autour de nous.
Nous devenons une sorte d’entonnoir où coule l’énergie pour la personne qui en fait la demande, l’énergie universelle s’associe à l’énergie du receveur. Le reiki agit comme un booster pour relancer l’être et dissoudre les blocages. Ainsi le praticien, n’est qu’un maillon, et n’a pas d’autre attente que de laisser couler le reiki avec toute la compassion et l’empathie possible, pour le plus grand bien du receveur.
L’énergie sait où elle doit aller et va où c’est le plus nécessaire.
Le receveur ressent différemment l’énergie : souvent de la chaleur, parfois presque une brûlure, mais ce peut-être comme une douce caresse, ou une vibration. Il est souvent étonné que les mains du donneur restent pourtant tièdes !
Selon les préceptes du reiki, le donneur doit laisser son égo de côté, ne pas se soucier, rester humble et ne pas être en attente de “résultat” ainsi si le receveur va mieux, ce n’est pas grâce au donneur (mais à l’énergie reiki) et s’il ne va pas mieux, ce n’est pas à cause du donneur.
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